Insipide, conférence où reconstruction et concertation devaient être au rendez-vous, d’une rénovation qui vient de lui poser un lapin en la vidant de sens et d’objectifs ?..
Le problème majeur de cette initiative, malheureuse est double :
1.Des militaires dont certains auraient les mains pleines de cambouis.
2.La présence de snipers de l’ancien régime qui tentent de se redonner une certaine crédibilité de nouveaux convertis..
Il est clair que ce constat, accablant, ne peut aboutir qu’à une impasse en tournant à la foire d’empoigne, tout en affaiblissant, un peu plus, cette transition qui se retrouve face à un mécontentement, grandissant au vu de l’euphorie et des espoirs, escomptés, du départ !..
On peut se demander si l’ancien régime n’est pas en train de pourrir une situation qu’il aurait instrumentalisée avec des complices à des postes clés ?..
Concernant ces colonels, « vice-présidents, associés », on peut se demander si leurs initiatives de départ ne sont pas le résultat de décisions, personnelles, sans quitus, de l’ensemble de cette corporation, réservoir, permanent, « des coups d’éclat ». ?..
Le choix religieux des conférenciers a aggravé le soupçon d’un habillage partisan et soporifique des futures conclusions vers une rénovation, orientée…
Le bricolage, l’approximation, l’intention de vouloir paraître, consensuel, ont affaibli, considérablement, cette transition qui, désormais, rame pour conserver une crédibilité qui s’effrite de plus en plus…
Ici, il ne s’agit, aucunement, de regretter un passé, récent, « iceberg », où « l’acceptable », masquait une immense partie, immergée de la coulisse, yakuza, mais, de souligner, une fois de plus, que cet ADN de la mauvaise gouvernance n’aurait pas totalement disparu, comme par enchantement, mais, qu’elle tenterait un retour, gagnant, aux commandes d’un état, sclérosé, où une forme, déguisée, de marche arrière n’est toujours pas à exclure !..