Depuis vendredi, le gymnase couvert d’Ankorondrano ressemble moins à une salle de sport qu’à un laboratoire politique. Environ trente partis s’y retrouvent pour des assises nationales des partis politiques et préparatoires à la concertation nationale annoncée par les autorités. Officiellement, il s’agit de dégager des propositions communes en vue de la « refondation ». Dans les couloirs, le mot qui revient le plus souvent est pourtant un autre : méfiance.
Le lancement de cette concertation nationale a déjà déclenché une vague de polémique. Plusieurs observateurs et responsables politiques disent ne pas être convaincus par la manière dont le processus est conduit : calendrier jugé précipité, méthode contestée, règles du jeu floues. Pour eux, le risque est de transformer un dialogue attendu en simple séquence de communication, sans garanties sur la suite. L’exécutif, de son côté, maintient que la concertation peut se tenir dans le cadre actuel et qu’il n’est pas nécessaire d’ajouter un texte préalable.
C’est précisément sur ce point que les discussions d’Ankorondrano se concentrent pour les trois jours, durée de ses assises. Les formations présentes veulent faire émerger une Charte de la transition censée baliser la période en cours : fixer les principes, clarifier les responsabilités, et donner un cap partagé. Une commission dédiée a été constituée pour rédiger ce document, que les organisateurs envisagent de présenter dès lundi, lors de la restitution des résolutions.
Au centre des inquiétudes : les zones grises qui alimentent les tensions. La durée même de la transition fait débat, faute de base légale explicite. « Le chef de l’État a prêté serment, mais on ignore s’il s’agit d’un mandat de cinq ans ou de deux ans », insiste Annick Ratsiraka.
Sur un autre front, la jeunesse du mouvement Gen Z et la société civile ont publiquement réclamé, elles aussi, une charte avant toute concertation, estimant qu’on ne peut pas débattre sereinement sans règles préalables. Le gouvernement défend l’approche inverse : discuter d’abord, encadrer ensuite. Entre ces deux lectures, Ankorondrano apparaît comme un test : celui de la capacité des acteurs à s’entendre sur un minimum commun avant d’entrer dans une concertation déjà contestée.
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Vos commentaires
Il n’est plus un mystère pour personne que les Colonels veulent accaparer et confisquer le pouvoir de décision en matière gouvernance dans le pays.
Des Colonels qui avaient utilisé comme levier et tremplin la révolte populaire initiée par la jeunesse, et appuyée par l’ensemble des groupes sociaux épris de justice et prêts à défendre les libertés civiles et politiques dans le pays.
Le pouvoir des Colonels à été octroyé par le truchement d’une HCC, longtemps alliée et outil de capture de l’Etat, et à la disposition du trio de malheur Rajoelina-Ntsay-Ravatomanga.
Il faudra le dire carrément, des Colonels opportunistes, devenus alliés de circonstances pour des politiciens qui n’ont jamais pu réussir à réunir l’audience et confiance accordée par la population à un mouvement suscitant à l’époque la concorde nationale.
Aussi, la réalité est là : le rétropédalage du Colonel Chef d’Etat est motivé par la volonté manifeste de confiscation du pouvoir, sur les conseils de politiciens en mal de notoriété !
Puisqu’il en est ainsi, il est impératif et indispensable, sans qu’il puisse y avoir de concession :
1- d’établir une charte tenant lieu d’acte fondamental, et définissant les missions et prérogatives de la transition politique actuelle.
2- de dresser dans le temps et dans l’espace institutionnel les actes attendus et résultats attendus par la réalisation des missions dans le cadre de la charte de la transition supra.
3- de susciter par des actes et déclarations solennelles l’engagement d’impartialité et de rejet de toutes initiatives de favoritisme dans l’exercice des responsabilités des autorités de la transition.
4- de respecter dans la priorité des missions de la transition politique le sauvegarde de la souveraineté nationale, la proposition de mesures pour la refondation de la République, le respect des six axes d’intervention en matière de gouvernance transitoire issue de la déclaration du Colonel Chef d’Etat et entérinée par la déclaration de politique générale annoncée.
5- de mettre en place une structure de suivi et évaluation de la réalisation des missions accordées aux autorités de la transition, et constituée dans sa composante majoritaire par la Gen Z et la société civile.
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Apparement l’objectif affiché des 30 partis politiques est d’elaborer des propositions communes pour la « refondation » du pays.
Mais le climat réel est une méfiance généralisée qui règne parmi les participants et qui remettent en cause la sincérité du processus
– Il faut le dire aux partis politiques, le processus est inédit (Personne n’a donné la parole au « gasy kely tsy mba mamindto » néfa manampahendrena lavitra)
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Les parasites de toujours veulent se refaire une virginité ?
Toutes les bonnes volontés sont les bienvenus pour mener à bien à l’aspiration du peuple Malagasy .
Qu’attendons nous pour y apporter notre collaboraton , surtout si on est à Madagascar ou aileurs .
La Diaspora y est invitée sans aucune restriction ainsi que la Société civile , longtemps ignorée , et les Syndicats .
La présence de l’ancien Ministre plénipotentiaire du Calife , Augustin Andriamanananoro met un doute dans ce processus qui a pour ambition de briser les racines de la PREDATION .
Est ce que cet Individu , ainsi que son Parti TGV , ont pris acte de leurs errements , et sont ils vraiment disposés à faire amende honorable , et changer de cap ?
Apparemment , vu leurs déclarations , dont celui de Haja Reasampa et de Milavonjy Philobert , ils ne démordent pas de leurs pratiques nauséabondes .
En tout cas , comme en Afrique du Sud et au Rwanda , une Commission Vérité doit être mise en place avant d’entamer une quelconque ...réconciliation.
Nous sommes convaincus que des préalables doivent être observés pour éviter de retomber dans les mêmes errances du passé , ainsi que la création d’une Institution pérenne , qui aura pour mission de veiller à cette refondation tant souhaitée dans les chaumières ...
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La jeunesse , notamment la fameuse GNZ , devra siéger dans cette nouvelle Institution , pour y apporter un réel changement dans les pratiques des vieux loups ...politiciens .
A Lekope
A mon avis, pour que la « concertation nationale » ait une chance d’être prise au sérieux, il faut que tous ceux qui y participent (surtout les personnalités controversées) adhèrent clairement et sans équivoque aux principes éthiques résumés par les 4 F du FFKM.
Autrement, il vaut mieux, ne pas s’impliquer que de venir pour se faire huer. La blessure est encore très vive !
– Ce n’est qu’après la concertation qu’un processus de réconciliation plus large pourra être envisagé sérieusement.
Rappel des 4 F du FFKM (principes éthiques) :
· Fieboahana : Reconnaissance publique des erreurs commises.
· Fieken-keloka : Repentance sincère, avec changement de comportement et réparations.
· Fahamarinana : Établissement transparent de la vérité sur le passé.
· Fihavanana : Rétablissement des liens sociaux et engagement commun pour l’avenir.
Quels projets à mettre en œuvre à l’issue de cette charte de transition ?
– Tant que les projets sociétaux et sociaux ne soient mis en avant, le reste c’est du divertissement.
– Une refondation proprement dite demande une remise en place d’un modèle de fondation detruite au fil du temps au cours duquel il y eu une dégradation réelle....
– La problématique, c’est que si on ne remonte pas à la source pour remettre en place ce qui marchait avant et après la colonisation, le « dinam-piaraha monina » ,un état en marche pour les intérêts collectifs, le reste c’est du blabla..
– A souligner que pendant l’ère de Tsiranana tout allait bien même si ce dernier n’avait pas rompu avec la France, il savait s’y prendre même avec la politique de francafrique...car le système basé sur le mérite était au rendez-vous..
– Comme ce qui a été dit ,il était temps de prendre son avenir en mains et d’assumer pour évoluer tangiblement ,en travaillant réellement ensemble..
– Donner le pouvoir légitime en adoptant efficacement la régionalisation dans le but déléguer le pouvoir central aux autorités compétentes ...pouvoir basé sur la structure basique du fokonolona impliquant le fokontany...sinon c’est du blabla endemique qui tourne autour des conflits d’intérêts non évolutifs, où dès qu’on sort de chez soi ,les ordures ne sont pas ramassées car la commune n’a pas le budget de fournir les bennes d’ordures..Eh bain la refondation commence par là avec le changement de mentalité pour préserver d’abord les biens collectifs...A chacun de faire des efforts dans l’ascension sociale. Dixit Maslow.
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En effet,.... « .sinon c’est du blabla endemique qui tourne autour des conflits d’intérêts non évolutifs, où dès qu’on sort de chez soi ,les ordures ne sont pas ramassées car la commune n’a pas le budget de fournir les bennes d’ordures.. »
A l’ado que tu es, actuellement, e pays organise une grande « Concertation nationale pour une refondation profonde / Dinidiniky ny mpiray firenena ho an’ny fanavaozana ifotony ». Tu sais, comme ces dinidinika traditionnels malgaches où tout le monde parle autour d’un bon romazava, mais version high-tech avec des drones qui livrent les idées depuis les rizières jusqu’à Antananarivo ! Pour que ça cartonne sans virer au chaos (genre un lémur qui vole le micro), il y a trois piliers solides comme un ravinala.
– Inclure tout le monde : Faut que toutes les voix comptent, des ados comme toi qui scrollent sur TikTok aux « vazimbas » des villages reculés, en passant par les mamies qui dansent le salegy. Pas question de laisser les lémurs ou les zébus de côté
euh, enfin, les gens quoi ! Sinon, c’est comme une fête sans vary : vide et triste.
– Être super organisé, style ninja malgache : Quand les idées arrivent (par app,, ; pigeon voyageur ou esprit ancestral), faut les trier avec précision, comme compter les grains de riz sans en perdre un. Pas de favoritisme, hein ? Sinon, c’est la bagarre comme dans un match de moraingy !
– Passer à l’action, rapido ! : C’est pas juste pour causer ; faut transformer ces blablas en trucs concrets, genre des écoles avec WiFi gratuit partout (Starlink,...) ou des jobs cool pour les jeunes. Comme si le président disait : « OK, les gars approuvent, on y va ! ».
Au fond, cette consultation, c’est comme un grand « fomba » démocratique malgache du futur : si on le fait avec transparence (pas de cachotteries comme un caméléon qui change de couleur) et en étant vrai, ça peut recoller la confiance entre nous, les citoyens, et les big boss du gouvernement. Genre, réparer un vieux taxi-brousse pour qu’il roule sans panne.
Le vrai succès, c’est pas d’avoir 1 million de likes ou des tonnes d’idées folles (même si c’est fun). C’est quand tout Madagascar arrive à pondre un plan partagé pour une société où on s’épanouit tous. Avec plus de plages propres, d’opportunités pour streamer des danses traditionnelles en VR, et moins d’embouteillages à Tana. Ça prend du temps (comme cuire un bon hen’omby), de l’argent (pas juste des ariary, mais des investissements intelligents), et surtout que les politiciens écoutent pour de vrai, sans faire semblant comme un faux lémur en peluche.
C’est un super investissement pour notre démocratie malgache : les bonus vont bien plus loin que des lois barbantes. Ça booste les liens entre potes, familles et voisins, et ça prouve que le pouvoir du peuple, ce n’est pas une vieille légende des ancêtres, mais un truc vivant et excitant, comme un concert de Rossy, en 2025 avec hologrammes !
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Les Pays Emergents comme la Corée , au même niveau que Madagascar dans les années soixante , ainsi que le Vietnam qui a subi l’assaut des Américains pendant la Guerre , ont réussi leurs paris et ont pu développer leurs Pays , en s’inspirant de leurs sagesses ancestrales .
Madagascar devrait en faire autant , car à travers les projets de société de nos aînés , comme le Dinampiarahamonina , ou les décisions prises à la base par le Fokonolona , teny miakatra ifampierana , nous sommes armés pour développer notre île .
Nos ancêtres n’ont pas attendu la Démocratie importée d’ailleurs , pour fonder une société juste et équitable ...
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Je confirme !
Par exemple, la Corée du Sud a commencé avec une ambition nationale relativement simple et ciblée :
– Fabriquer des télévisions (TV)
Aujourd’hui, l’ambition a évolué vers l’innovation radicale et l’inspiration biomimétique. Les équipes de recherche et développement (R&D) de Samsung ne se contentent plus d’améliorer l’existant. Elles étudient désormais un modèle d’écran sophistiqué inspiré par un organisme marin, le « seiche de mer », pour comprendre comment concevoir de futurs écrans ultra-sophistiqués.
C’est une inspiration pour nos « politiques » :
Cela suggère que les politiques publiques doivent encourager la R&D de rupture plutôt que de se limiter à la reproduction ou à l’amélioration progressive des modèles existants.
https://information.tv5monde.com/afrique/faut-il-inclure-ou-exclure-andry-rajoelina-de-la-refondation-de-madagascar-2801142
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https://defimedia.info/les-deboires-de-mamy-ravatomanga-et-ses-proches-rs-9969-m-gelees-sur-99-comptes-bancaires-madagascar
Je ne sais pas, si l’exemple de la Coree du Sud est bon...Mr Eveilleur... Contrairement au Madagascar dépendant toujours de son ex-colon francafricain, la Coree du Sud n’avait pas de telles dépendances envers un autre pays si je ne me trompe...
Un rappel historique s’impose …
La victoire du Japon contre la Chine impériale en 1895 puis contre la Russie tsariste en 1905 confirme sa puissance en Asie. En 1905, par le traité d’Eulsa, imposé sous la contrainte, la Corée devient un protectorat japonais. Finalement, en 1910, l’annexion complète de la Corée est formalisée par le traité d’annexion, marqué par la suppression du gouvernement coréen et le début d’une occupation coloniale.
Le Japon impose une administration militaire rigide. Les premiers gouverneurs généraux (comme Terauchi Masatake) gouvernent avec autorité : liberté de presse, de réunion et d’expression sont sévèrement restreintes. Dans les années 1930, une politique d’assimilation forcée s’intensifie : les Coréens sont poussés à adopter des noms japonais (S ?shi-kaimei), à parler uniquement japonais dans les écoles et dans la vie publique, et à participer aux rites shintoïstes. Le but est d’effacer l’identité coréenne pour intégrer la péninsule dans l’Empire japonais.
L’occupation transforme radicalement l’économie coréenne au profit du Japon. Les terres agricoles sont souvent confisquées et redistribuées à des colons japonais ou exploitées pour alimenter l’économie impériale. Les Coréens, majoritairement paysans, deviennent de simples métayers fortement taxés. Le Japon développe aussi l’industrie lourde en Corée, particulièrement dans le nord, en utilisant une main-d’œuvre coréenne bon marché. Durant la Seconde Guerre mondiale, l’exploitation devient plus brutale : mobilisation forcée pour le travail dans les usines japonaises et dans l’armée japonaise de Corée et enrôlement de jeunes filles coréennes comme « femmes de réconfort » pour l’armée impériale japonaise.
Malgré la répression, des mouvements de résistance voient le jour. Le plus célèbre est le Mouvement du 1er Mars en 1919, où des millions de Coréens manifestent pacifiquement pour l’indépendance ; il est violemment réprimé par l’armée japonaise, avec des milliers de morts. Ce mouvement donne naissance au gouvernement provisoire de la république de Corée, établi en exil à Shanghai. Par la suite, de nombreux groupes, y compris des guérillas communistes et nationalistes, poursuivent la lutte contre l’occupant, parfois en coordination avec les forces alliées pendant la Seconde Guerre mondiale.
La capitulation du Japon en août 1945 met fin à l’occupation de la Corée.
Source : Wikipedia
Ho ahy, monina sy mitoetra ary mivelona eto Madagasikara, dia tsotra sy mazava no handrasako amin’ny rafitra tetezamita izay mijoro sy mbola hijoro.
1- tsy hiriaria sy tsy ho afa-maina intsony ireo tsy maty manota rehetra nandroba nangalatra sy namono olona teto amin’ny Firenena hatrizay.
2- madio sy mangarahara ary azo hitokisana ny fifidianana rehetra amin’ny ho avy atao eto Madagasikara.
3- tsy hivangongo intsony eo amin’ny olon tokana ny fahefana sy ny fanapahana eto amin’ny Firenena, ary tsy miainga intsony avy eo amin ny Faritra na Faritany iray irery intsony ny fandraisana fanapahankevitra hampandrosoana ny Firenena.
Ireo telo ireo ho ahy no vokatra handrasako amin’ny tetezamita.
Fanovana rafitra sy fanovana fomba fiasa, ary fanovana miainga avy ifotony mihintsy no ilaina, ary fanorenana ifotony manomboka any amin’ny Fokonolona no apetraka.
Tsy fanamboarana fotodrafitrasa na koa fampanantenana tetikasa no handrasako amin’ny tetezamita, aleo hipetraka ho andraikitry ny olomboafidy rahampitso aorian’ny tetezamita izany.
Tsy tokony hisy intsony rafitra sy fomba fiasa izay nahafahan’i Rajoelina sy Ntsay ary Ravatomanga namotika sy nanimba ny Firenena Malagasy.
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A mon avis les incohérences
Les risoriso viennent de la différence d’émergence du PPRM et du PM ...(???)
Tsy mitovy saranga.
Aslm alkm
Discutons et faisons des propositions sur des thèmes dont nous sommes armés voire nous avons des idées et des expériences à faire valoir autrement on devient les grains de sable qui bloquent le bon fonctionnement du système.
L’exclusion est à l’origine de tous les maux.Elle suscite la vengeance, un plat qui se mange froid. On devient des frères ennemis (Caïn et Abel, etc...) et bonjour les dégâts, sabotage, meurtre et guerre.
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Mr l’imam bonjour
Pouvez vous me répondre : quelle loi est pour vous primordiale à obéir en premier lieu : Celle de la Constitution de Madagascar ou celle du Coran et de ses hadiths ?
Dans un pays entièrement musulman la réponse est l’Islam mais à Mada...? Heureusement ce pays n’appartient pas encore à ses talibans même si quelques uns se sont emparés à la tête de son économie !
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« Ny mpangalatra gadraina art ny mpamono olona kosa vonoina » et pour appliquer cette charte de la royauté, des autorités de proximité sont nécessaires et surtout en période de transition et de refondation : des nominations pour les nommés et des élections pour les élus, exceptés pour les Chef Fokontany avec le système bâtard de leur accès à la fonction. Vu l’attente que l’on porte sur eux et leurs rôles déterminants pour la réussite de la refondation.leur accès par voie electorale est la solution idoine.
Quant aux nominations, ma modeste contribution est la suivante pour faire taire les contestations et la cacophonie éventuelle, et pour une transition apaisée
Des officiers supérieurs issues des génies militaires, béret vert pour diriger les six provinces (armée de développement et non pas de coup d’état).
Des administrateurs civils de classe exceptionnelle pour l’organisation administrative des régions.
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« Vonoina » ? Fa iza ihanao no manana fahefana homono olona ?
"Des officiers supérieurs issues des génies militaires, béret vert pour diriger les six provinces (armée de développement et non pas de coup d’état).
Des administrateurs civils de classe exceptionnelle pour l’organisation administrative des régions."
Bref des gens du sérail.
Zao ary e,
Rehefa misy fiezahana fitiava tanindrazana daholo fa tsy fitiavan-tena sy fanaovana kolikoly fanodihodinana ny vola mbahoaka ny malagasy dia mora ny mampandroso an’i madagasikara.
Ity misy ohatra kely atolotro, kely izy io nefa mandroba ny firenena, ary mialatsiny fa hiresaka ny zavatra nianako sy hita ny masoko aho :
– rehefa misy fotodrafitr’asa hatao mba ho sitrahin’ny vahoaka any atsimo, dia misy malagasy mibahana ka miteny hoe : tsy mendrika an’ny zareo any a tsimo ity asa ity fa tonga dia adabohy any. Sady alainy ho azy angalariny ilay vola....
– Na koa ataony ihany ilay fotodrafitr’asa fa tsy tomombana, tsy zarizary, izany hoe, tsy ataony amin’ny tokony ho izy fa atao kitoatoa fotsiny, dia alainy ndry zareo hoatr’izay fotsiny ny vola, angalarin-dry zareo mpanatosana ny asa sy ireo tompon’asa.
Ny fanjakana kosa anefa sy ireo mpiasa ambony natao hanaramaso ny asa, tsy miraharaha akory satria be loatra ny kolikoly...
– jereo ireo tany lavitra andriana, sy ny any ambanivohitra, indrindra ny any amin’ny faritra atsimo sy Atsimo-Andrefana iny, tsy misy miraharaha an’iny faritra iny akory ny fanjakana, indrindra fa ireo ankizy tsy misitraka ny ZOny, satria tsy mianatra noho ny tsy fisian’ny sekoly fanabeazana mirindra ho azy ireo ka lasa miriaria fotsiny, dia io fa lasa bado daholo.
Ka rehefa bado ny ankizy dia bado koa ny vahoaka. Vokany, manaraotra ny mpitondra dia lasa tsy zary zary ny fiaraha monina ka mitondra fantiantoka be loatra ho an’ny firenena...etsetra ..
Ny toetsaina lomorina io indrindra no fototra mampahantra ny malagasy.
Sombiny kely ihany ireo lazaiko ireo.
Ka zao kosa, tonga izao ny fotoana hanarenena ireo zava-drehetra tsy manjary ireo.
Amboarina sy arenina daholo izay rehetra tsy mety raha te handroso ny malagasy.
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Salama djiaby .
Il n’ y a donc pas d’ autres priorités ???
Et chacun y va de son registre copié/collé sur celui de son voisin , avec sa course aux inutilités , désinvolture devant les urgences et ignorance des priorités ?
Pendant que certains se démènent corps et ame pour lutter contre la corruption essayer de regeler ce problème majeur d’ eau et d’ électricité d’ autres sont préoccupés par une « charte de transition » : A quand une charte de bonne conduite, de devoir de résultat et de lutte édifiante de lutte contre la corruption ???
Au lieu de continuer les kabary depuis plus de 50 ans et que RIEN n’ avance dans le Pays : persistent et signent & ils sont une trentaine ? : pas un pour racheter l’ autre !
DÉSESPERANTS pour ne pas dire hopeless ...
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Isambilo votre honneur, quelle instruction allez-vous suivre celle du constructeur ou celle du code de la route pour votre voiture ?
Kartell et Walesa, votre honneur, la guerre mondiale, la guerre de Corée, la main mise de l’oncle Sam et leurs conséquences sur ces deux pays, vous les occultez .
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Sans oublier la guerre froide où chaque puissance pousse leurs partisans dans tous les domaines et le non alignement et ses conséquences.
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